Bulletin 1 de 2009


Editorial

EN PLEIN DEDANS

Ca y est, nous y sommes. Après des années d'études, de réunions, de projets et de contre-projets, nous sommes enfin arrivés au stade des réalisations, en somme, du concret.

Et le concret est bien là. Les promeneurs qui s'approchent des entrées de notre ouvrage découvrent, à proximité des grilles qui délimitent (timidement) ce périmètre, le panneau de chantier. Ceux qui passent sur la route du commandant Reynier peuvent voir, le matin, arriver les camionnettes des entreprises dont les ouvriers disparaissent dans l'entrée des munitions ou encore dans celle des hommes : des peintres, des électriciens, des monteurs d'ascenseurs, des maçons, des tuyauteurs, etc.

Les travaux ont débuté, et bien qu'ils n'aient pas encore atteint leur vitesse de croisière en cette fin décembre, on y est, on y est même en plein dedans. Le samedi, quand le chantier est à l'arrêt et que nos bénévoles viennent oeuvrer à leurs propres travaux, ils en profitent pour constater les changements. Et les réflexions fusent : "C'est impressionnant, on n'aurait jamais imaginé que…".

Oui, chers amis, nous n'aurions jamais imaginé que cela nous arrive avec une telle ampleur. Et pourtant, il le fallait. Car nul ne pouvait penser que cela allait continuer comme avant. Les dirigeants de notre association s'attendaient à ce qu'arrive le moment où il faudrait être aux normes. Ah les normes ! De sécurité, bien sûr : électriques, d'accès, de largeurs de portes ou de marches d'escaliers, d'évacuation, de secours, d'aération, antifeu, de balisage, d'éclairage, de compartimentage, d'accueil et ce faisant des handicapés, d'hygiène et la liste est loin d'être complète.

Oui, nous serons aux normes, ceci grâce à l'important engagement financier des collectivités territoriales (Région, Département, Communauté des communes, Etat), le tout pour un montant prévisionnel de 1 500 000 euros, toutes taxes comprise. Dans le lot, nous apporterons notre part qui s'élèvera à 100 000 euros, soit 7,4% du montant total hors taxes.

1 500 000 euros, une somme considérable, même si elle ne représente qu'un dixième de ce qui a été investi au fort du Simserhof, en Lorraine. Mais ne nous plaignons pas, au contraire. En effet, le nouveau Conseil communautaire du Pays de Wissembourg venait de prendre la décision de financer en plus la construction de toilettes extérieures au fort, ainsi que la rénovation du plafond métallique de l'entrée, toutes deux non prévues lors de la dernière mandature.

Et même si quasiment aucun autre ouvrage de la ligne Maginot ouvert au public - toutes régions confondues - n'a été gratifié d'une mise aux normes aussi carabinée que le Schoenenbourg (en Alsace, on est toujours plus légaliste et meilleur contributeur qu'ailleurs), il fallait passer par là.

En quelque sorte, nos financeurs nous ont payé le passeport pour le futur.

Nous aurons de ce fait le droit de poursuivre l'exploitation touristique du fort, ce qui nous permettra de continuer notre mission de sauvegarde et de mise en valeur de notre patrimoine monumental et historique.

D'ores et déjà, merci aux collectivités qui ont misé sur notre savoir-faire et surtout, mettront la main au porte-monnaie.

Pour l'instant, nous sommes en plein dedans, attentifs et un peu anxieux de la lenteur des travaux, avec l'espoir néanmoins que la réouverture annoncée du 4 avril puisse bien avoir lieu. Mais au fait, venez donc nous rendre visite après cette date, nous vous expliquerons cela de visu. Je pense que cela vaudra le déplacement.

Jean-Louis Burtscher

 

LA VIE DE L'ASSOCIATION

Début août, ont paru dans la presse les appels d'offre pour la réalisation des travaux de mise en conformité du fort.

Septembre

Le 3, des visiteurs un peu particuliers s'étaient mêlés aux touristes qui attendaient l'ouverture du fort. Il s'agissait de deux chevaux qui s'étaient échappés de leur enclos, et qui ont pu être récupérés par leur propriétaire.

Septembre a été surtout caractérisé par plusieurs vols à nos détriments. Ainsi, trois bérets des troupes de forteresse ont été dérobés sur les mannequins de la chambre de troupe de la caserne souterraine, le cadenas fermant ce local ayant été brisé.

Quelques jours plus tard, une réplique de mitrailleuse Reibel a été démontée dans l'exposition "armement et cuirassements" du bloc 3. Elle n'a toutefois pas été emportée. Dans la même semaine, disparut la partie mobile de la goulotte lance grenades de l'entrée des munitions. Et pour clore le tout, un périscope a été volé presque au nez et à la barbe du permanent qui assurait le service au musée de la casemate Esch, à Hatten, casemate également gérée par notre association.

Il s'agit là sans conteste l'oeuvre d'un ou de plusieurs spécialistes collectionneurs. Notre président a porté plainte.

Octobre

Notre ouvrage a été visité par les collègues de l'AALMO, qui ont entrepris la rénovation et la préservation de la casemate d'Oberroedern-sud, ainsi que de la mémoire des faits historiques qui se sont déroulés dans ce secteur.

L'abri du Grasserloch, qui est situé non loin de notre ouvrage, a servi à diverses manoeuvres de sauvetage à huit maîtres-chiens et leurs compagnons à quatre pattes. Pratiqués dans le noir et dans un milieu totalement inhabituel, ces exercices de recherches de personnes sinistrées ont grandement contribué à la formation de ces chiens qui auront à intervenir lors de tremblements de terre.

Octobre a également été le mois de la création de l'association "Alsace - lieux de mémoire, terre sans frontières. Fondée à l'initiative de la Région Alsace, cette association, qui fédèrera l'ensemble des lieux de mémoire de notre province – musées, champs de bataille, fortifications, etc – aura pour but la promotion commune de ces entités liées à l'histoire militaire de l'Alsace, avec un important soutien financier du Conseil régional. Notre président, Marc Halter, a été nommé vice-président pour une première mandature.

A la mi-octobre, s'est également déroulée une réunion de la Fédération des associations de sauvegarde de la fortification. Les représentants des associations, dont votre secrétaire général, ont été accueillis avec tous les égards par l'équipe du fort du Hackenberg où, après une matinée passée à parcourir les dessus, ils se sont retrouvés en réunion dans la vaste chapelle de l'ouvrage.

Novembre

Une quinzaine de membres de notre association sont partis à la découverte des endroits habituellement non visités de l'ouvrage du Four à Chaux. Très cordialement reçus par les bénévoles qui préservent ce gros ouvrage proche de Lembach, nos membres ont pu parcourir tous les recoins du fort. Merci pour cette intéressante visite.

Décembre

Le Conseil général du Bas-Rhin a engagé une campagne de valorisation des principaux sites touristiques au moyen de panneaux de signalisation routiers à base de graphismes. Une réunion a eu lieu pour valider les maquettes de présentation. La ligne Maginot est bien entendu dans le lot et le fort de Schoenenbourg sera le premier ouvrage à être valorisé par de tels panneaux.

Le 20, bénévoles et salariés de notre association se sont retrouvés dans un restaurant de Drachenbronn, à l'occasion de notre repas de fin d'année.

 

LE CHANTIER MENE PAR LES ENTREPRISES

Les préparatifs des travaux de mise en conformité ont débuté dès la mi-octobre, où la baraque qui servira aux réunions de chantier a été mise en place. A la fin de ce mois, le local d'accueil-caisse de l'entrée des munitions était déjà démoli.

Les travaux, qui ont démarré mi-novembre, concernent au premier chef la mise en conformité des installations électriques et de l'accessibilité.

Les installations électriques 

L'alimentation souterraine actuelle de 20 000 v et la cellule interne de transformation seront supprimées au profit d'une cellule de transformation extérieure et une alimentation directe en 440 volts. Tous les transformateurs internes à bain d'huile seront dépollués et remplacés par des transformateurs secs. Les installations électriques seront révisées et mises en conformité.

Les dispositifs de sécurité 

Ils seront composés d'un éclairage de secours permanent et d'un réseau d'alerte incendie. Le groupe électrogène normal-secours du fort, qui jusqu'alors faisait office d'éclairage de secours, sera transféré dans le bâtiment extérieur pour alimenter et secourir uniquement l'ascenseur.

L'issue de secours du bloc 1 sera agrandie. Au pied des trois issues, bloc 7, bloc 8 et bloc 1, il y aura un sas de sécurité avec portes coupe feu asservies à l'alarme incendie. Ces sas permettront de recueillir les visiteurs et de les évacuer sereinement, ils pourront aussi être utilisés comme base opérationnelle par les secours.

Un système de vidéo surveillance interne sera mis en place, sur tout le circuit visitable. Il permettra non seulement la surveillance du dit circuit, mais surtout de voir et évaluer à distance les éventuels enfumages.

L'ascenseur 2,5 t de l'entrée sera remplacé par un nouvel ascenseur utilisable par le public et secouru par le groupe normal-secours. L'ascenseur 5 t sera révisé et déclassé en monte-charge. Les ascenseurs (non utilisés) présents sur le circuit de visite seront immobilisés.

L'accueil des visiteurs 

Le local caisse de l'entrée sera supprimé et remplacé (au même emplacement) par un bâtiment en dur et agrandi. Un bâtiment WC supplémentaire sera construit à l'extérieur, sur le parvis du fort. Il sera, bien sûr, adapté aux personnes handicapées et abritera aussi le groupe de secours. Il y aura un système de comptage des visiteurs à l'entrée du fort qui comptabilisera les entrées et les sorties.

Le déroulement des travaux 

Début novembre, divers chantiers étaient entamés. Jusqu'à la mi-décembre, a été réalisé :

Au bloc 7 (entrée des munitions) 

- Le béton a été percé en plusieurs endroits pour assurer l'évacuation et l'approvisionnement en eau du nouveau bureau d'accueil. Pour cela, il a fallu percer dans la dalle de sol, les murs de l'étage inférieur, la façade du bloc.

- La distribution électrique de l'entrée, qui sera entièrement remaniée et déplacée, nécessita également plusieurs percements de murs en béton armé.

- La doublure métallique du plafond de l'entrée, très corrodée, a été nettoyée et sera repeinte.

- Les travaux de remise en fonctionnement de l'ascenseur de 5 tonnes ont commencé, les câbles seront changés. Ce monte-charge, non prévu pour transporter des personnes, devra être opérationnel quand le démontage de l'ascenseur 2,5 tonnes débutera. C'est ce dernier qui pourra être utilisé par le public, dès la prochaine saison.

- Toujours dans le puits de descente de l'ascenseur 2,5 tonnes, le câblage de l'éclairage de secours est en place et le tuyau d'alimentation de fuel déposé et remplacé par une colonne sèche.

A l'entrée des hommes (bloc 8) 

- Là aussi, plusieurs forages ont eu lieu dans la façade ainsi que dans la dalle reliant les deux étages du bloc, pour laisser entrer le futur câble électrique qui alimentera le fort à partir d'un transformateur qui sera installé au bord de la route qui dessert l'ouvrage. La fondation du transformateur a déjà été coulée.

Dans le bloc même, qui servira d'issue et d'entrée de secours, l'escalier de descente sera sécurisé et rénové par l'obturation des décollements de béton, la réfection des marches et la pose de dalles de béton sur ces dernières.

Au bloc 1 

Ce bloc étant destiné à servir d'issue et d'entrée de secours, l'issue de secours d'origine qui débouchait dans le fossé diamant a été élargie pour permettre l'installation d'une porte au standard actuel. Une ouverture de 2,20 x 0,90 m a été découpée dans la façade par une scie à béton. La partie interne de l'issue a été aplanie et élargie, toujours au moyen de découpes de béton.

Le câblage de l'éclairage de secours des avants a débuté par ce bloc et s'étale désormais dans ce secteur.

Au bloc 3 

L'escalier d'accès au haut du bloc, dont les marches en béton étaient en mauvais état, est en train d'être décapé.

Le monte charge du bloc, qui n'avait pas été remis en fonctionnement depuis l'abandon de l'ouvrage vers 1968, a été immobilisé, ses câbles ayant été supprimés car ne répondant plus aux normes.

Travaux électriques 

La distribution du courant électrique fera l'objet de plusieurs transformations et améliorations. Celaa a commencé par un début de désactivation et de vidange des transformateurs d'origine à bain d'huile et leur remplacement par des transformateurs dits à enroulements secs.

Voilà donc, sommairement, le descriptif des travaux entamés ou réalisés à la fin de l'année 2008. Et ce n'est qu'un début…

 

TRAVAUX BENEVOLES

Il ne faudrait pas croire que nos bénévoles ont croisé les bras pendant que les entreprises étaient au travail. Aussi, ont été réalisées nombre d'actions aussi bien utiles qu'esthétiques :

Au bloc 4 :

Trois gênantes infiltrations d'eau ont fait l'objet de captages dans le bas et à l'entrée de ce bloc. Puis la galerie de desserte qui le traverse de part en part a été rafraîchie par une couche de peinture blanche. La hauteur de ce couloir fait que ces travaux n'étaient pas des plus faciles. Ce bloc a pris un coup de jeune qui fait plaisir à voir.

Au bloc 6 :

La porte blindée, la grille et autres huisseries de la sortie de secours ont été entièrement repeints. Dans la partie inférieure de ce bloc, trois portes métalliques et leur encadrement ainsi que les deux portes sas ont été dérouillées et repeintes.

Au bloc 3 :

La desserte principale du bas de ce bloc a été entièrement repeinte, même les voûtes qui, à 4,5 mètres de hauteur, n'avaient jamais été traitées depuis les années 1950. Un travail s'étalant sur plusieurs semaines, dont le résultat est un bas de bloc beaucoup plus lumineux et plus accueillant. L'objectif étant de mettre le bloc 3 spécialement en valeur car étant une des pièces maîtresses de l'ouvrage.

Mais il fallut capter également trois insidieuses et persistantes entrées d'eau, dont une dans l'exposition "armement et cuirassements" où d'anciennes fissures résultant des bombardements de 1940 s'étaient réouvertes. Idem à l'entrée du bloc, où des infiltrations dues aux bombardements n'en finissaient pas d'humidifier la galerie principale à ce niveau. C'est bien beau d'annoncer aux touristes que le fort a été le plus bombardé de la ligne Maginot, nous en subissons encore aujourd'hui les conséquences.

A l'étage de combat du bloc 3, d'importantes retouches de peinture ont été pratiquées sur la partie haute de la tourelle. Mais auparavant, il fallut laver cette dernière pendant plusieurs séances de travail, tellement l'humidité et la poussière avaient fini par encrasser et enlaidir l'ensemble. Dans la foulée, tous les strapontins, crochets et autres éléments métalliques ont été repeints. Et comme il aurait été dommage de s'en tenir là, nos bénévoles ont repeint les murs de l'étage supérieur et de l'étage inférieur du puits de tourelle.

Au bout d'une année de travaux, nous pouvons affirmer que notre ouvrage recèle la plus belle et surtout la mieux préservée des tourelles de 75 R 32 de la ligne Maginot.

La galerie principale, entre la gare des avants et la sous-station est elle aussi en cours de rénovation. Ce travail a été confié à notre ouvrier d'entretien qui a entrepris ce chantier après plusieurs semaines passées à curer les caniveaux de l'ouvrage. 

 

AILLEURS

- Le petit ouvrage de Rohrbach - ou fort Casso - a bénéficié d'un prêt d'un canon de 47 mm de forteresse provenant de l'ouvrage du Simserhof.

- Au Simserhof, le casernement de troupe du camp du Légeret a été entièrement rasé, pour faire place à un lotissement. Le seul bâtiment encore existant est celui de l'entrée du parking du Simserhof, qui devrait être aménagé en centre d'interprétation de la ligne Maginot.

- Les deux blocs d'entrée de l'abri de Métrich ont été remblayés

- L'ouvrage du Bois du four a acquis plusieurs supports de jumelages de mitrailleuses Reibel pour rééquiper ses chambres de tir, un auprès de Fermont, un second à Villey-le-sec. La chambre des mortiers de l'ouvrage, où ont été remontés et restaurés les deux mortiers de 81 mm du Schiesseck, est devenue un véritable bijou.

- Le site de Barst a lui aussi été victime de vandalisme par la destruction d'une des tentes destinées aux manifestations.

- Le bloc 3 de l'ouvrage du Laudrefang a été entièrement dégagé de la végétation qui l'enserrait. Les extérieurs ont été nettoyés et un début de restauration est visible à l'intérieur. Ce sont les bénévoles de l'APOT qui, à défaut de pouvoir œuvrer sur l'ouvrage de Téting dont l'accès leur est refusé car le site n'est pas dépollué, se sont rabattus sur Laudrefang.

- Suite à un débroussaillage conséquent, l'abri de Frohmühl est désormais bien visible de la route départementale qui passe en contrebas.

- Les élus et responsables associatifs animant des ouvrages de la ligne Maginot du Pays de Nied ont, dans le cadre d'une journée d'études pour la création d'un circuit touristique allant de Dalstein à Saint-Avold, effectué un périple de reconnaissance sous la conduite de Michel Mansuy.

- Le barrage Maginot de l'Albe, près de Sarralbe, qui avait été le second plus grand barrage de la trouée de la Sarre, a perdu ses cinq piles qui gênaient, soi-disant, le cours de la rivière. Il avait déjà été dépossédé de ses superstructures à la fin des années 1990. Encore un vestige de notre patrimoine qui disparaît.

- Au camp du Ban Saint-Jean, des travaux ont permis de mettre à jour de nombreux objets issus de l'ancien camp de sûreté de la ligne Maginot, devenu camp de prisonniers ukrainiens, appelé Stalag XII F au temps de l'occupation allemande, après la défaite de 1940.

- Une association est en train de se créer pour la sauvegarde de l'ouvrage du Chesnois. Le bloc 1 a déjà été entièrement débroussaillé

- La casemate du mont des Bruyères (Escaut) a connu ses premières ouvertures régulières au public. On y a d'ailleurs volé un périscope lors d'une journée de visite.

- Au fort de Fermont, la sécurisation du fil conducteur alimentant les locotracteurs électriques Vétra a été assurée par un dispositif novateur, qui double l'ancien fil de cuivre.

Le nouveau hall d'exposition sera opérationnel au printemps de cette année.

- L'abri de Bockange est désormais visitable le 3e dimanche du mois

- L'ouvrage du Four à Chaux, à Lembach, a accueilli son millionième visiteur en novembre 2008. 

 

LIRE

"Blockhaus ornés des systèmes fortifiés alsaciens et lorrains 1914/1940" par Michaël Séramour. Ce dernier a recensé nombre de marquages de construction moulés ou peints sur les petits bétons coulés par les soldats français et allemands de la Première et de la Seconde Guerre mondiale. Cet ouvrage de 416 pages recèle 915 photographies, 15 documents et 22 plans et cartes.

Editions Fensch vallée – 9 rue Foch – 57240 KNUTANGE, tél.03 82 84 22 95

Prix : 49 euros plus port

"Le Nord, terre de fortifications – Flandre, Hainaut, Artois, Picardie" par Julien Dépret.

Un livre de 274 pages, richement illustré, qui retrace 200 ans d'histoire de la fortification du nord de la France

Editions Allan Sutton, BP 90600 – 37542 Saint-Cyr-sur-Loire Cedex, ou encore dans les grandes librairies.

Prix : 22 euros plus port

 

LA COTISATION 2009

Comme tous les ans, nous vous invitons à renouveler votre engagement envers notre association par le paiement de votre cotisation. Celle-ci se monte à 16 euros.

Les actifs qui voudront être assurés devront verser 24 euros au moment de régler leur cotisation.

Les envois sont à adresser à

Armand JACQUES, 265 rue principale

67160 SCHLEITHAL

Prenez soin de libeller votre chèque au nom de l'association. Les virements postaux se font sur le compte 1775 89 s

 

OUVERTURES DU SCHOENENBOURG DEVANT ETRE ASSUREES PAR LES BENEVOLES

Dimanche 12 avril (Pâques)

Lundi 13 avril (lundi de Pâques)

Vendredi 1er mai

Dimanche 10 mai

Dimanche 31 mai (Pentecôte)

Dimanche 21 juin

Dimanche 12 juillet

Dimanche 2 août

Dimanche 23 août

Dimanche 13 septembre

Dimanche 4 octobre

Dimanche 25 octobre

Mercredi 11 novembre

 

L'ASSEMBLEE GENERALE se déroulera dans la salle de cinéma de la base aérienne 901, à Drachenbronn, le samedi 14 mars 2009.

Voir la convocation jointe.

 

En attendant, quelques chiffres :

Visiteurs à la casemate Esch : 1787

Au Schoenenbourg : 34 753

 

D'ici là,

Le président Marc Halter et le Conseil d'administration vous souhaitent une bonne et favorable année 2009

 

 


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